5 jours seul dans le Jura : la quête silencieuse de Mathieu G., pêcheur éthique

5 jours seul dans le Jura : la quête silencieuse de Mathieu G., pêcheur éthique

Seul. En autonomie. Hors réseau.
Pendant cinq jours, Mathieu G., 37 ans, a disparu des cartes.
Pas pour se faire remarquer, mais pour se retrouver.
Son projet : s’enfoncer dans une vallée oubliée du Jura, pêcher à la mouche dans un cours d’eau sauvage, bivouaquer en toute autonomie… et ne vivre qu’avec l’essentiel.

“Je voulais voir ce qu’il reste quand on enlève tout le confort. Ce que le silence, l’attente, la solitude me révéleraient.”


Une immersion totale dans un écosystème fragile

Mathieu est développeur web. Il vit à Annecy. Il pêche depuis l’enfance, mais depuis quelques années, il est en quête d’une pratique radicalement respectueuse.
Pour cette expédition, il a ciblé un tronçon peu accessible de la Bienne, connu pour sa pureté… et sa difficulté.

Son engagement ?

  • Aucun appât chimique,

  • Aucun impact visible,

  • Aucune consommation au-delà du nécessaire.

Chaque prise était relâchée, sauf une truite le soir, parfois aucune.
Il a mangé peu, marché beaucoup, et vécu avec ce que la rivière et la forêt acceptaient de lui offrir.


Une autonomie pensée, pas improvisée

Son matériel, préparé avec rigueur et fourni en grande partie par VANTURA, reflète cette philosophie :

  • Sac à dos étanche 40L : résistant, minimaliste, parfaitement ajusté.

  • Tarp ultra-léger pour un bivouac discret entre les arbres.

  • Réchaud compact, silencieux, efficace même par vent.

  • Filtre à gravité pour l’eau : autonomie totale sans gaspillage.

  • Et surtout : des vêtements techniques respirants, robustes et silencieux, parfaitement adaptés aux longues stations immobiles en bord de rivière.

“Je n’ai pas cherché du matos marketing. Je voulais des produits conçus par des gens qui comprennent ce que c’est que passer 12 h dehors à guetter une truite dans le brouillard.”


Une aventure intérieure, loin de l’égo

Mathieu n’est pas là pour “faire le buzz”. Il n’a posté aucune image.
Pour lui, la pêche est un acte presque spirituel.
Il se lève avec le vent, écoute les feuilles, suit les courants. Il prend le temps. Il apprend à attendre.

“On vit dans un monde où tout doit aller vite. Là, j’ai redécouvert la lenteur, la précision, l’humilité.”

Chaque soir, il note ses observations dans un carnet.
Il n’a pas de sponsor. Pas de projet d’édition.
Il pêche, il marche, il apprend. Et il recommencera.


Une éthique, pas une performance

Mathieu est engagé contre la pêche intensive, le braconnage, l’artificialisation des rivières.
Il milite pour une pratique raisonnée, locale, et compatible avec la survie des écosystèmes.

“Pêcher, ce n’est pas exploiter un milieu. C’est y participer. C’est accepter de ne rien prendre. De n’être qu’un visiteur.”


Chez VANTURA, nous soutenons ces aventures sincères et profondes.
Pas de grand titre. Pas de records.
Juste un homme, une rivière, et une manière de dire : je suis ici, et je respecte.

Parce que c’est aussi ça, le vrai outdoor.
Et parce que c’est pour ce genre de pratiques que VANTURA existe.